Solëen M. Byrne
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Date d'inscription : 28/11/2009
because of you mes amis, mes amours:
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Sujet: solëen ▬ i thought it'll be different this time. Sam 28 Nov - 0:46 |
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ink-name. Nom & Prénoms: Solëen Moïra Byrne. Date & Lieu de Naissance: 22 juillet 1989 ; New York. Profession: Etudiante en Arts Plastiques - Bonne à tout faire. Statut: Célibataire ~ Compliquée.
▬ SO HUMAN AS I AM, I HAD TO GIVE UP MY DEFENCES. Et merde. Et merde ! Et merde ! Et merde ! Et re re merde ! Non mais franchement, pourquoi ce foutu bus est-il parti sans moi, hein ? Comment je vais arriver au boulot maintenant ? J’vais me faire virer c’est sur. Je ne pourrais pas payer mon loyer. On va se retrouver à la rue. On va m’ôter la garde de Lucas et je ne le verrai plus jamais. Sans mon fils, ma vie est fichue et … STOP. Je dois me calmer. Une telle chose ne pas arriver. Une idée… Une idée… Hum ? Oh bonjour. Je ne vous ai jamais vu dans le coin ! Qui je suis ? Et bien je me prénomme Solëen Moïra Byrne. Bizarre comme nom, hein ? Allez savoir pourquoi, ma mère a souhaité m’appeler comme ça. Je ne l’ai jamais vraiment compris. Et je me souviens que dans mon enfance, elle se mettait à rire quand je lui posais la question. Je suis née à Harlem, un des districts de New York… Vous connaissez ? C’est un endroit qui forge le caractère et qui vous apprend à être plus fort. C’est aussi un lieu très dangereux, je peux vous le certifier. J’en ai fais les frais. J’avais à peine huit ans quand j’ai perdu ma mère. Une fusillade. Trois victimes. Que des mères. Un peu macabre, non ? Je me souviens l’avoir très mal vécu mais c’était encore pire pour mon père. C’est à cette époque qu’il a commencé à changer. Il a plongé dans l’alcool pour oublier la disparition de la femme de sa vie. Au début, ce n’était qu’un verre ici et là, rien de bien important. Mais petit à petit, il a augmenté les doses si bien qu’il ne pouvait pas passer une heure sans descendre une bouteille. Comme vous vous doutez, il s’est fait licencier et nous nous sommes retrouvés avec une montagne de problèmes sur le dos. Et lui, il devenait de plus en plus aigri. De plus en plus en colère. Violent. Et un jour, ca partit. La première claque. Puis plus tard des coups de pieds. Puis de poings. Je n’en pouvais plus. C’était horrible. Mais j’aimais mon père. Sincèrement. Alors je subissais sans rien dire, me disant que ce n’était qu’une mauvaise passe, que tout s’arrêterait bien un jour mais j’étais bien naïve. Rien ne pouvait plus stopper la machine en marche. Je le compris le jour où il osa faire ça. Abuser de moi. Je m’enfuyais finalement en pleurs de la maison. Mais où pourrais-je aller ? Je n’avais jamais été populaire à l’école, je n’avais que quinze ans et pas d’avenir. Aussi étrange que cela puisse paraitre, ce fut ma prof’ d’arts plastiques qui me recueillie. J’avais toujours aimé les arts. Je passais mon temps à dessiner, ce qui expliquer pourquoi les autres me trouvaient si bizarre. Toujours à griffonner dans mon petit cahier. Et pendant une année, je vécus enfin comme une adolescence lambda. Pour tout vous dire, j’avais même un petit ami, moi ! J’étais heureuse. Enfin, j’aurais du me douter de la supercherie. Nous étions en couple depuis près de 8 mois quand je me décidais enfin de passer à l’acte avec lui mais à peine cela fut-il fait qu’il m’humilia devant tout notre lycée. Un pari. Voilà ce que j’avais été pour lui. Un vulgaire pari. Il n’y avait jamais eu d’amour de son coté, juste une envie malsaine de me faire du mal. Pour la première fois de ma vie, j’ai vraiment haï quelqu’un. Je voulais qu’il meure. Je voulais mourir et disparaitre pour toujours. Mais je ne l’ai pas fait. Aussi étrange que cela puisse paraitre, je n’ai jamais envisagée le suicide comme quelque chose que je pourrais éventuellement faire. Je considère cela comme un acte de lâcheté. Et je n’ai jamais était une couarde. Je me suis toujours battue. Et de cette force intérieure, je ne me doutais pas une seule seconde que j’en aurais encore plus besoin dans les années à venir.
Il me fallut un temps certain pour assimiler le fait que j’étais enceinte. C’était bien trop improbable pour que je réalise. Je ne l’avais fait qu’une fois. Et pourtant, ca avait bien suffi. Inutile de vous dire le regard que mes camarades me portaient. Mais pour une fois, ca m’a permis de claquer le bec de celui qui m’avait brisé le cœur. Même si j’aurais voulu avoir quelqu’un pour élever mon enfant à mes cotés. Mais inutile de vous dire qu’il a pris ses jambes à son cou quand il a appris pour ma grossesse. Il a même carrément coupé les ponts avec tout le monde et changé de ville. Classe, hein ? M’enfin, maintenant ca ne me fait plus rien et quand j’y pense, je me dis que ce n’est vraiment pas de ce genre de figure paternelle que Lucas aurait besoin. D’ailleurs la naissance de celui-ci fut sans aucun doute la plus belle chose qui ne me soit jamais arrivée. Je me souviens encore de sa petite bouille toute fripée alors que le médecin me l’avait donné pour que je le porte. Et du combat juridique qui en a suivi. Heureusement que ma prof’ était encore là sinon on aurait bien pu m’ôter mon bébé, ma raison de vivre. Cette femme, presqu’une mère pour moi, m’a tant apporté qu’aujourd’hui je vais encore régulièrement à New York pour déposer des fleurs sur sa tombe. Hum… Oui, elle est morte peu avant ma remise de diplôme. Crise cardiaque. J’en ai beaucoup souffert. Et ce fut le début d’une des pires chutes que j’allais être amenée à connaitre. Ca a commencé peu de temps après mon arrivée ici, à Madison. J’étais à peine âgée de dix huit, mère d’un enfant de deux ans, sans argent et avec des frais immenses à payer que ce soit pour notre studio ou pour mes études. C’était horrible. J’avais beau enchainer les petits boulots, je n’arrivais pas à boucler mes fins de mois. Je ne voyais pas comment je pourrais m’en sortir. Mais je ne vois pourtant pas aujourd’hui quel élément de ma vie m’a poussée à me prostituer. Oui, vous lisez bien. J’ai été une trainée. Une fille de la rue. Pour mon fils, j’aurais tout fait. C’est à ce moment de ma vie que j’ai d’ailleurs rencontré deux des personnes qui allaient le plus compter pour moi. Elle, ma meilleure amie, jeune fille paumée dans le même état que moi. Quand je « travaillais », elle gardait Lucas et vice versa. On se comprenait, on se soutenait. Comme moi, elle n’avait pas eu une vie simple. Peut-être que c’Est-ce qui nous a rapproché ? Allez savoir. Elle est ma moitié comme je suis la sienne et pendant près de deux ans, c’est ensembles que nous avons souffert. Jusqu’à cette soirée qui a marqué un tournant décisif dans nos vies. Ce soir là, je devais me rendre à une chambre d’hôtel très classe et alors que nous commencions notre sale besogne, mon portable a sonné. Or, c ‘était un code pour me dire qu’il y avait un problème avec Lucas. Ni une ni deux, j’ai voulu partir mais il m’a rattrapé dans les couloirs et - vu que je ne voulais pas l’écouter- il a commencé à me frapper. C’était horrible, j’avais l’impression de revivre ce que j’avais connu avec mon père. Et c’est là qu’elle est apparue. Elle l’a fait fuir avant de prendre soin de moi. J’avais beau garder les lèvres closes, elle continuait à s’occuper de moi. Je ne me souviens même pas lui avoir permis de venir chez moi. Et pourtant, ce fut une bonne chose même si ma meilleure amie a failli la tuer en la voyant. C’est qu’elle déteste vraiment les bourgeoises. Mais celle-là était adorable si bien qu’elle m’offrit du travail dans sa demeure familiale. Ce n’était qu’un boulot de bonne mais ca me permit de pouvoir rentrer dans mes frais mais également de ne plus me prostituer. De ce fait, j’aidais ma meilleure amie également à quitter ce sale emploi pour un autre de serveuse. Une vie plus saine allait pouvoir commencer.
Mais pas dénuée de problème. Mon employeuse avait toujours été d’humeur joueuse et un soir, elle m’a proposée de jouer à la Cendrillon d’une nuit. J’ignorai tout simplement que le prince serait lui aussi de la partie. Il a suffit d’un regard pour que mon cœur s’enflamme pour cet inconnu. Il est venu vers moi et pendant toute la soirée, nous ne sommes restés que tous les deux sur ce balcon à discuter. Je n’avais jamais ressenti cela pour qui que ce soit. C’était tout bonnement magique. Mais comme dans le conte de fée, je me devais de redevenir citrouille et je le quittais en ne lui donnant qu’une chose. Un prénom. Je ne pensais plus jamais le revoir, lui l’homme de mes rêves. Et bien, il faut croire qu’une fois de plus j’avais tort. Ma surprise fut énorme quand j’appris qu’il était le frère de celle qui m’avait embauchée. Mon patron en somme. Horreur. Et lui qui me pensait une riche héritière, comme lui. Il ne devait pas savoir la vérité. Sa sœur m’avait pourtant proposé tout un stratagème pour que je me fasse de nouveau passer pour cette Cendrillon d’une nuit mais je refusais. Je n’étais pas une menteuse. Alors je me cachais sans cesse, je faisais tout pour qu’il ne remarque pas ma présence. Et c’est un jour, alors que je me baladais en ville sans faire attention que nous nous sommes revus. Je n’ai pas pu dire non quand il m’a proposé un verre, pas plus que je n’ai pu empêcher mon cœur de battre si vite pendant tout le temps où nous nous sommes vus. Alors finalement, j’ai accepté de jouer cette mascarade. Parce que je ne pouvais plus me passer de lui. Mais j’ai peur, peur qu’il se rende compte que je lui mens, qu’il découvre mon passé, mon fils et qu’il me rejette. Si peur que j’en suis paralysée. Si peur que parfois, je ne sais plus quoi faire… ▬ LET YOURSELF LET GO- Elle boit énormément de café. Un peu comme une machine a besoin d'huile, elle sait de cette substance qu'elle ne peut définitivement pas se passer.
- Elle n'aime pas du tout le rose. Franchement, cette couleur lui donne la nausée.
- Elle est très méfiante et n'aime pas vraiment s'attacher aux gens. Elle a horriblement peur de souffrir de nouveau. Pour ce qui est de l'amour, c'est pire encore.
- C'est une excellente cuisinière et vous pouvez me croire, elle fait les meilleurs gateaux de toute la ville, oui m'sieur !
- Affreusement maladroite, elle passe son temps à trébucher ou à casser des objets. C'est un phénomène de foire à elle toute seule.
▬ SAY GOODBYE TO THE WORLD YOU THOUGHT YOU LIVE IN.Avatar: Vanessa Hudgens. Age: 19 ans. Sexe: Féminin. Comment avez-vous connu le forum ? : Obsession. Test Rp:- Spoiler:
Tous les hommes n’étaient pas des chasseurs nés comme Ambre, c’était une vérité qu’il fallait accepter. Après tout, on ne venait pas tous au monde avec les mêmes cartes en main ou les mêmes aptitudes et si certains pouvaient réaliser un exploit dans un domaine sans avoir à se forcer, cela pouvait se révéler un véritable calvaire pour d’autres, ce qui expliquait sans le moindre doute la raison de tels clans dans cette ville qui se livraient une guerre parfois sans pitié. Et bien sur, la demoiselle en faisait partie d’un, comme tous les autres jeunes de la ville même si elle ne se trouvait étonnement pas dans la confrérie dans laquelle on pouvait s’attendre à la trouver. Certes, on ne pouvait rien dire sur sa fortune qui en faisait pâlir plus d’un de jalousie mais ce n’était pas tant cela qui la rendait si spéciale - ou plutôt pas uniquement cela. En effet, elle aurait pu avoir les doigts recouverts de bagues de diamants et le visage d’un thon en boite mais cela n’avait pas été le cas. Dame Nature lui avait conféré des charmes non négligeables et qui faisaient se tourner bien des têtes sur son passage. Et on ne pouvait pas non plus dire qu’elle était une laissée pour compte en ce qui est du domaine du cérébral. Loin d’être une poupée Barbie n’ayant absolument rien dans la caboche, elle possédait une vive et surprenante voire même dangereuse dans certains cas de figures, intelligence qui la mettait bien au dessus du lot de certaines personnes l’entourant. Et que dire de son caractère si ce n’est qu’il était si explosif et difficile à manipuler qu’il n’était pas sans rappeler une bombe prête à éclater à la moindre petite erreur de notre part et dont il fallait donc s’approcher avec la plus grande précaution. Un cocktail pour le moins particulier qui aurait du lui assurer une place pour le moins privilégiées chez les Queens et qui pourtant ne fut pas le cas. Mais pas parce que ces dernières n’avaient pas voulu d’elle, au contraire. Mais parce que la petite latino avait tout bonnement décliné leur invitation. Elle n’avait étrangement pas souhaité rejoindre cette sororité qui était pourtant l’une des plus désirées de toutes. Inutile que cela avait produit chez les étudiantes un tel effet qu’il aurait pu être comparé à une gifle en pleine figure et que durant un certain temps, Stillwater avait été le théâtre d’un affrontement entre ces princesses qui se disputaient toutes le trône jusqu’à ce qu’une sorte de trêve découlant sur une guerre froide ne soit signée entre elles, chacune faisant sa vie de son coté sans ce soucier de l’autre.
Voilà pourquoi elle n’éprouvait pas la moindre crainte - comme si c’était son genre - qu’une de ces jeunes femmes ne viennent mettre son nez dans ses petites affaires. Il faut dire qu’ils n’étaient pas nombreux à tenter le diable en s’approchant de trop près de la belle brune avec de mauvaises attentions, non seulement parce qu’elle les voyait venir de loin mais aussi par peur de ses représailles qui laissaient toujours une marque cuisante après leur passage. Ainsi se pourrait-il que son principal opposant soit en réalité ce Jerk machin chose qui en avait après elle depuis qu’elle avait publiquement insulté son site bidon et même cela ne semblait pas l’atteindre le moins du monde. Comme si ce webmaster à la noix allait la faire frémir, faut pas pousser le bouchon un peu trop loin Maurice là. Rien ne semblait assez impressionnant pour elle, pour la faire se terrer dans un petit trou de souris et même embrasser un geek ne semblait pas assez horrible pour qu’elle renonce à une idée quand elle en avait une en tête. Voilà surement pour quoi elle n’était pas dégoutée et prête à se flinguer à la perspective du fait qu’elle allait surement devoir embrasser le garçon devant elle. En fait, cela la laissait même complètement froide quand elle y pensait. Après tout, ca ne serait qu’un mec de plus donc elle n’allait pas faire tout un caprice pour cela, même si c’était un adepte des consoles et autres machines issues de la nouvelle technologie. Elle survivrait à ce qui pourrait apparaitre à beaucoup de personnes comme une punition divine. Après tout, n’était elle pas encore pire que le Diable quand on y pensait vu qu’elle, contrairement à ce dernier, existait réellement et ce au « bon plaisir » d’un grand nombre de personnes. Roulant des yeux en l’entendant lui demander où se trouvaient les filles qu’il devrait justement embrasser, elle lui donna un petit coup derrière la tête en soufflant un vague « Idiot » devant la stupidité de sa question. Franchement, il fallait le faire pour oser demander cela.
Le fait qu’elle le rabroue ainsi - plutôt gentiment d’ailleurs quand on connaissait bien la brunette et ses humeurs - venait surement du fait qu’ils n’avaient absolument pas les mêmes valeurs et que du moment que personne n’était en couple, la mexicaine ne voyait pas en quoi un baiser pouvait être dérangeant que l’on soit amis ou pas. Ce genre de choses n’a que l’importance que l’on lui donne consciemment car quand il n’y avait pas de sentiments dans cet acte, au final ca ne restait que deux bouches qui venaient à la rencontre l’une de l’autre. C’était l’intention derrière qui primait. Ainsi si on prenait l’exemple des deux principaux hommes de sa vie dans ce domaine, Keith et Ambre, la manière qu’elle avait de les embrasser était bien différente. Avec le blond, le plaisir et le jeu primaient, le désir se doit de monter entre les deux jeunes gens. Mais c’est tout. Alors qu’avec le châtain, c’était différent. C’était avant toute chose une preuve de leur engagement mutuel l’un envers l’autre, de leur attachement. Un moment privilégié qui n’appartenait qu’à eux seuls. Une démonstration des sentiments forts qui les liaient l’un à l’autre. Deux baisers. Deux intentions différentes. Quelque chose que le brun allait devoir assimiler et qu’elle prendrait le temps de lui faire comprendre de manière claire. Et il n’aurait pas son mot à dire. Comme si elle allait écouter ses jérémiades comme quoi il ne voulait pas le faire. D’ailleurs, elle lui offrit un sourire pour le moins amusé et mutin alors qu’elle ne répondait pas à sa question et qu’elle partait elle-même en direction de la porte pour se rendre en direction de la chambre de ce dernier. Certes, elle n’était jamais venue ici mais elle n’aurait absolument aucun mal à trouver où ce dernier couchait. Vu les pas qu’elle avait entendu tout à l’heure, elle pouvait déjà dire que cette dernière se trouvait à l’étage du dessus et elle s’empressa de s’y rendre pour ne pas que le geek puisse l’en empêcher. Croisant la mère de ce dernier, elle lui offrit un sourire des plus éclatants, laissant une fausse rougeur apparaitre sur ses joues alors qu’elle lui glissait les quelques mots suivants d’une fausse voix timide, histoire de continuer dans le rôle de la petite fille de bonne famille.
Taylor - « Je… je monte pour attendre Ethan, on a décidé de réviser ensembles. Il va m’aider un peu avec mes cours, j’ai du mal parfois je l’avoue… »
Cette dernière la laissant passer avec un sourire bienveillant, c’est avec un qui était pour le moins diabolique que la brunette empruntait le dernier couloir menant à la pièce qu’elle désirait trouver, sure d’être tranquille un petit moment du fait que la vieille femme allait surement titiller son fils pour plus de détails grâce à son jeu d’actrice et qu’elle pourrait inspecter la chambre tranquille. Et visiblement, il y a avait matière à le faire quant on voyait à quel point cette dernière différait de ce qu’elle avait l’habitude de voir. Elle s’approcha des comics et elle en tint un instant entre ses doigts tout en le feuilletant avant de le reposer à sa place. Grimaçant en voyant le bordel sur le bureau - propre à un esprit encore un peu gamin - elle eut carrément un bon en arrière quand elle aperçut le tas de linge sale derrière la porte. Alors là non, ca n’allait carrément pas le faire. Elle haïssait la saleté sous toutes ces formes. Ca la mettait en colère de voir qu’il était si négligé. D’ailleurs, alors qu’elle entendait le garçon se rapprochait, elle croisa ses bras sur sa poitrine en tapotant du pied sur le sol, signe qu’elle n’était absolument pas contente de ce qu’elle avait trouvé.
Dernière édition par Solëen M. Byrne le Sam 28 Nov - 15:12, édité 5 fois
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