Sujet: gaël xantha ▬ coeur ravagé. {the end} Dim 29 Nov - 14:41
(c) doodily Nom & Prénom;Gaël Xantha Abraham. Date & Lieu de Naissance;14 avril 1986 à Paris Profession; Photographe paysagiste. Statut: célibataire depuis bien longtemps.
▬ SAY GOODBYE TO THE WORLD YOU THOUGHT YOU LIVE IN.
Avatar: Robert Pattinson (aa) Age: bientôt 16 ans 8 ) Sexe: F Comment avez-vous connu le forum ? : par une pub sur PRD (aa) Test Rp:
Spoiler:
La semaine avait mis une éternité avant de céder la place au week-end. A croire qu'elle me narguait, qu'elle faisait exprès de tirer en longueur pour m'énerver. Le week-end c'était fait désiré. Mais maintenant qu'il était arrivé, je ne savais trop que faire. En réalité, je m'ennuyais. De plus, j'avais passé une nuit épouvantable durant laquelle j'avais enchaîné cauchemars sur cauchemars. Et le bouquet, c'était qu'à six heure du matin j'étais debout alors que, pour une fois, je pouvais me lever plus tard. Franchement, j'enrageais, ma journée commençait très mal. Cela faisais maintenant une heure et demi que je tournais en rond. Ma colocataire n'étais pas là et je ne savais pas pourquoi d'ailleurs. Mais c'était mieux ainsi, j'aurais au moins éviter de la réveiller. Après avoir pris une bonne douche et m'être habillé, je m'amusais à jouer avec mon chien, lui racontant ma semaine mais au bout d'un moment, je n'eus plus rien à dire et le soleil daigna enfin montrer le bout de son nez. Je décidai donc que c'était le moment idéal pour sortir le mien et par la même occasion, celui de mon chien. Le seul endroit un peu verdoyant de cet université était les bois. Mais je n'avais pas très envie de m'y aventurer. Il y avait eu un meurtre dans ces bois dans la semaine et je ne tenais pas à mourir tout de suite. J'estimais que j'avais encore la vie devant moi et que, par conséquent, je ne méritais pas de ne plus appartenir à ce monde aussitôt. Mais je n'avais guère envie de me balader en ville, je préférais de loin les endroits verts que les quartier pollué de la ville où j'avais l'impression d'étouffer. D'ailleurs, lorsque je vivais à Paris, il était rare que je me promène dans le rue même. Je préférais faire une ballade dans l'un des nombreux parcs de la ville. Bref, il y avait eu un meurtre dans la semaine, deux en un laps se de temps aussi court, ce n'était quand même pas possible, si ? Je me convaincu du contraire et m'habilla assez chaudement pour éviter d'attraper froid. Je me faisais déjà souvent assez de blessures comme ça sans qu'en plus j'ai besoin d'un rhume. Je mis le petit collier que je lui avais acheter ainsi qu'une laisse assortie. Les animaux n'étaient pas interdit dans les dortoirs mais la femme de ménage m'avait déjà plusieurs fois laisser des mots assassins sur la porte en disant que je ferais bien de surveiller mon chien et de le sortir plus souvent. Aussi, j'avais peut que dés qu'elle en ait l'occasion, elle lui torde le cou. C'est pour cette raison que je sortis d'abord la tête de la chambre pour vérifier qu'elle ne trainait pas dans les parages. Mieux valait l'évitée. La voie était libre, aussi, je m'engageais dans les couloirs direction la sortie.
Lorsque j'arrivai dans les bois, un frisson me parcourra de la tête au pied, je n'étais pas vraiment rassurée. Mais toujours est-il que je n'hésitai pas à m'enfoncer d'avantage. Il n'y avais personne dans les bois. Pourtant, j'avais la nette impression d'être observée et je ne cessais de regarder derrière moi pour vérifier que j'étais bien seule avec mon chien. Après tout, tant qu'elle ne s'agitait pas et qu'elle n'aboyait pas, il n'y avait pas de raison de s'inquiéter. En regardant derrière moi, je manquai de peu de m'écraser au sol à cause d'une maudite racine d'arbre et j'entendis quelqu'un avoir un rire bref. Mon sang se glaça et je fus instantanément paralysée. Je regardai mon chien pour voir si elle avait également détecter le bruit. Apparemment, oui. Sauf qu'elle regardait dans la direction opposée de laquelle j'avais entendu ce rire bref. Mes oreilles devait donc me jouée des tours, je continuais à m'enfoncer dans les bois en essayant de ne pas trébucher et en prêtant attention au moindre bruit. Et je n'entendis plus rien, du moins, pendant un moment. Ma chienne fit ses besoins, après un moment qui me paru une éternité et je décidai de retourner sur mes pas. Malheureusement, je n'étais pas vraiment réputée pour mon sens de l'orientation et tout se ressemblait. Si bien qu'au bon d'un moment, je m'avoua perdue et je m'assis sur un arbre couché, mort. Je mis mes bras sur mes genoux et ma tête dans mes mains. Je m'apitoyais sur mon sort, pourquoi n'avais-je pas pris mon putain de portable ? Et pourquoi mon chien ne me guidait-il pas spontanément. Je cherchais un moyen de m'y retrouver en vain. Je savais qu'il fallait regarder la mousse sur les arbre pour trouver le nord, mais peut-être n'était-ce pas la bonne direction. J'espérais que quelqu'un passerait par là et me retrouverait ou que mon chien développerai soudain une envie présente de rentrer. Sans quoi, j'étais condamner à érer dans ces bois pour longtemps encore. Si personne ne passait d'ici cinq à dix minutes, je suivrais la piste de la mousse en espérant arriver à un endroit connu. Je relevai la tête et fixai mon attention sur les mouvements et les bruits de ces bois maudits.
Dernière édition par Gaël X. Abraham le Lun 30 Nov - 21:16, édité 7 fois
Gaël X. Abraham
Messages : 37 Date d'inscription : 29/11/2009
Sujet: Re: gaël xantha ▬ coeur ravagé. {the end} Dim 29 Nov - 14:42
▬ SO HUMAN AS I AM, I HAD TO GIVE UP MY DEFENCES.
(c) Saperli_Puppet
Je me rappelle encore la première fois que je t'ai vue. Je pense que je n'avais jamais vu quelqu'un d'aussi souriant. Tu m'avais littéralement époustouflée. Tes cheveux long ondulaient au grès du vent et tu riais aux éclats. Tu marchais simplement dans la rue, comme des milliers de personnes à Paris. Mais tu étais peut-être la seule à être heureuse dans cette ville tourmentée. Je n'ai pu m'empêcher de sourire avec toi, de t'accompagner dans ton hilarité, même si je ne te connaissais pas. La seule vue de ton bonheur me rendait heureux. Ainsi, comme dans les films, je t'ai vu passer au ralentis devant moi sans t'arrêter, sans même m'accorder un regard. Lorsque tu eus tourné au coin de la rue, la ville assombrit à nouveau, le rayon de soleil avait disparu et je ne le reverrai probablement jamais.
Dans l'espoir de te revoir, je revins au même endroit le lendemain à la même heure. Mais tu ne revins pas. La nuit s'installait définitivement dans mon esprit au bout de deux semaines passées à t'attendre lorsque tu refis surface brusquement, m'aveuglant de ta beauté. Comme la première fois que je t'avais vue, tu ne m'accorda aucune attention. Ce dont je n'avais pas l'habitude. Généralement, les filles venaient à moi sans que j'ai besoin de bouger le petit doigt. Sans le vouloir, tu me lançais un défi. Je ne savais pas tellement comment je devais t'aborder, ce que je devais faire pour capter ton attention. Je n'avais pas coutume de draguer, cette chose m'étais étrangère. Aussi, je n'osa pas me jeter à l'eau et je faillis encore une fois laisser passer ma chance. Heureusement, dieu était avec moi ce jour-là et tu fis tomber quelque chose. Je ne me préoccupai pas de ce que cela pouvait être, je le ramassai simplement et te courus après pour te le rendre. C'est là que tu m'adressa la parole pour la première fois et que tu me pris pour un voleur. Tu m'enguirlanda comme si j'étais un crétin fini mais ça n'avait guère d'importance. Le son de ta voix était aussi beau que ton rire et je ne pus m'empêcher de sourire bêtement, une nouvelle fois. Tu m'avais rendu plus heureux en l'espace de quelques secondes que durant mes dix-huit ans d'existence. De cette deuxième rencontre, j'appris qu'en septembre tu rentrais dans la même école d'art que moi, ce fut le plus beau jour de ma vie. Cela voulait dire que j'allais certainement te revoir. Malgré tout, j'oubliai de te demander un numéro de téléphone et je passai le reste de mes vacances à me tourmenter. Je voulais juste savoir comment tu allais, entendre le son de ta voix, encore une fois. Mes vacances furent longues. Beaucoup trop longue.
La rentrée fut une vraie bénédiction pour moi. Cependant, je dus te chercher longtemps avant de te trouver, l'école était trop vaste à mon goût. Tu parus contente de me voir également. Et j'eus enfin le courage de te demander ton numéro. Je pense que c'est à partir de ce moment-là qu'on ne se quitta plus. Nous fument d'abord de très bons amis. Tu aimais me raconter tes journées, tes tracas et tes petits plaisirs. Et moi, j'aimais t'écouter parler. De plus, je n'avais pas besoin de dire grand chose, tu monopolisais la majeure partie de la conversation et ça avait le don de m'arracher des sourires furtifs. Et puis, un jour, je pris les choses en mains, décidant que j'avais assez attendu comme ça. La première fois que je t'embrassai, je sus que j'étais totalement fou de toi et que tu étais la femme de ma vie. J'en étais persuadé.
Mais un jour, le destin en décida autrement. J'avais réussis à te convaincre de partir avec moi en vacances, malgré tes deuxièmes sessions. Ce jour-là, j'avais insisté pour prendre le volant de ma voiture, bien que tu voulus conduire. Alors que nous étions sur l'autoroute, j'avais réussi à t'arracher un fou rire magnifique, somptueux. Tu brillait de mille feux. Mais en l'espace de quelques minutes, tu t'éteins à jamais. Un poids lourd nous percuta du côté passager, il s'était endormi au volant de son véhicule. Tu fus tuée sur le coup. Tu ne peux pas savoir à quel point je m'en voulus de ne pas t'avoir laissée conduire. Je ne pus rien faire pour te sauver, je ne fus que le triste témoin d'un accident mortel. Pour la première fois, j'ai pleuré, j'ai pleuré toutes les larmes de mon corps. Et lorsque j'eus enfin repris mes esprits, je voulus tuer ce chauffard, mais c'était déjà fait. Je me surpris même à souhaiter qu'il aille en enfer. Le jour où je t'avais aperçue pour la première fois, tu m'avais en quelque sorte donné la vie et en partant, tu m'avais emporté avec toi. J'étais mort.
Sans toi, la ville était triste, noire. Les paysages que j'aimais tant photographié pour leurs beautés étaient fades et tout me rappelait tantôt ta chevelure d'or, tantôt tes yeux bleu océan ou encore ta peau livide. Je m'ennuyais de toi et mon chagrin ne s'estompait pas avec le temps. Je n'arrivais pas à faire mon deuil. Si seulement j'avais décidé, pour une fois, de laisser ma tête de mule de côté. Non, il avait fallu que j'insiste pour te conduire sur ton lit de mort. Je m'en voulais tellement...
Je n'avais plus que mes études dans la vie, le reste m'importait peu. Je ne vivais plus réellement, j'étais juste là pour faire office de décoration, j'étais invisible, transparent, insignifiant. Jusqu'au moment où j'eus envie de tourner la page, de me donner une seconde chance. C'est là que je décidai de partir pour les Etats-Unis, dans un endroit qui ne me ferrait pas penser à toi. Une ville totalement inconnue et différente de Paris. Je pris le premier avion en partance pour ce pays de débauche et je m'installai dans la ville de ma destination.
▬ LET YOURSELF LET GO
(c) Misery Angel
# La curiosité à beau être un vilain défaut, je ne peux m'empêcher de l'être. # Les gens disent de moi que je suis mystérieux, en réalité, j'évite juste de parler, je n'en ai pas l'envie. # L'expression « avoir un caractère de cochon » semble être écrite pour moi. # Si vous m'incommoder, ne vous inquiétez pas, vous serez immédiatement au courant. # J'aime me moquer des gens, même intérieurement, cela me fait beaucoup rire. # Ici, personne ne sait rien de mon passé, je suis un inconnu et pourtant, je connais tout le monde. # Avant, les filles me courraient après, maintenant, elle le font toujours sauf qu'elles ne m'intéressent plus, c'est trop facile et puis, je n'ai pas le cœur à ça. # Je sais me montrer très persuasif lorsque je le souhaite. # Je fais toujours des analyses poussées pour savoir si ce que vous me dites s'avère exacte. # J'ai la sale manie de regarder les gens de haut en bas en haussant les sourcils. # Je m'arrête souvent aux préjugés sans aller voir plus loin. # Je suis ce que l'on peu appeler un jaloux maladif et un protecteur invétéré. # Je passe souvent ma main dans mes cheveux lorsque je réfléchis ou lorsque je suis embarrassé. # Je ne suis pas du genre à dévoiler mes sentiments ni à me confier facilement. # Je suis ironique, il paraît que ça ne plaît pas à certaines personnes, tant pis pour elles, elles ne savent pas ce qu'elles ratent. # Mon métier est tout ce qu'il me reste dans la vie. Le reste n'a guère d'importance. # Mes antidépresseurs, ce qui me permet de tenir le coup, c'est tout d'abord la photographie. Mais aussi une bonne dose de chocolat et de cigarettes.
Dernière édition par Gaël X. Abraham le Lun 30 Nov - 21:10, édité 19 fois
Sujet: Re: gaël xantha ▬ coeur ravagé. {the end} Dim 29 Nov - 14:45
Bienvenue
Rob j'exige un lien d'office
Gaël X. Abraham
Messages : 37 Date d'inscription : 29/11/2009
Sujet: Re: gaël xantha ▬ coeur ravagé. {the end} Dim 29 Nov - 14:47
jensen (L') of course (aa) oh and thanks x)
Alandrëa Flechter
Messages : 18 Date d'inscription : 27/11/2009
Sujet: Re: gaël xantha ▬ coeur ravagé. {the end} Dim 29 Nov - 14:47
c'est mon second scénario ou pas? BIENVENUE.
Gaël X. Abraham
Messages : 37 Date d'inscription : 29/11/2009
Sujet: Re: gaël xantha ▬ coeur ravagé. {the end} Dim 29 Nov - 15:25
et bien en fait, je n'avais pas vu ton scénario à vrai dire. mais il ne correspond pas vraiment à ce que je voulais faire de robert --" je ne sais pas si c'est possible que je prennes tout de même pattinson ? en tout cas merci pour ton acceuil x)
Alandrëa Flechter
Messages : 18 Date d'inscription : 27/11/2009
Sujet: Re: gaël xantha ▬ coeur ravagé. {the end} Dim 29 Nov - 15:30
arff. bah, j'peux toujours changer quelques petites choses pour qu'il corresponde un peu plus à ce que tu avais imaginer. parce que bon, j'ai pas vraiment envie d'enlever pattinson d'mon scénario sachant qu'on m'a déjà fait le coup sur un autre forum.
je passe pour la grosse chieuse itout mais bon, voilà.
Gaël X. Abraham
Messages : 37 Date d'inscription : 29/11/2009
Sujet: Re: gaël xantha ▬ coeur ravagé. {the end} Dim 29 Nov - 15:31
non, non, je comprend très bien, je pense que ça me ferais royalement chier aussi x) je te mpotte pour arranger ça x)
Alandrëa Flechter
Messages : 18 Date d'inscription : 27/11/2009
Sujet: Re: gaël xantha ▬ coeur ravagé. {the end} Dim 29 Nov - 15:35
enfin quelqu'un de compréhensible j'attends ton MP alors.
Gaël X. Abraham
Messages : 37 Date d'inscription : 29/11/2009
Sujet: Re: gaël xantha ▬ coeur ravagé. {the end} Dim 29 Nov - 15:37
désolée du double poste, mais je pense avoir terminé (aa) s'il faut rajouter des choses, je le ferais, mais je ne sais que rajouter à la deuxième partie x)
Léona H. Connors
Messages : 22 Date d'inscription : 29/11/2009 Age : 31