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Rockzann Y. Dwyer
Messages : 10
Date d'inscription : 29/11/2009
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Sujet: Rockzann -- fini Dim 29 Nov - 1:24 |
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▬ LET YOURSELF LET GO
Courage, c'est bientôt fini. On vous demande ici de nous dire ce que vous n'avez pas dit dans votre histoire. Vos qualités, vos défauts, vos manies, vos tocs. Racontez nous tout. On est des curieux
- Rockzann a une habitude depuis son plus jeune âge qu'elle tient des moments qu'elle a passer chez sa grand-mère pendant son enfance. Celle-ci était très croyante et n'arrêtait pas de dire à ses petits-enfants que Dieu était la réponse à toute les questions qu'on pouvait ce poser un jour où l'autre. Qu'il n'abandonnait jamais les personnes qui croyaient réellement en lui. Depuis ces moments, elle lit très souvent la bible quand elle a des problèmes ou qu'elle cherche une quelconque réponse. Rock sais que c'est un peu idiot, il n'y a que sa meilleure amie qui le sais ainsi que son frère, mais elle ne peut s'empêcher d'avoir le livre sacré soit dans son sac ou encore quand sa table de chevet.
- Beaucoup vous diront que Rockzann est une petite chose fragile à laquelle il faut faire attention, comme à un verre de cristal. Mais voilà, c’est presque tout le contraire et la jeune femme sais très bien se débrouiller par elle-même ainsi que se défendre quand quelqu’un s’en prend à elle.
- La jeune femme ne regrette rien de ce qui lui est arriver dans sa vie, surtout pas la période ou tout à changer et que ses parents ont enfin pu respirer après avoir reçu cet héritage. Mais voilà, Rockzann est nostalgique et ne peux s'empêcher de se rendre de temps en temps dans leur ancienne maison qui n'est maintenant plus habiter depuis leur départ. Elle sera rattacher à cet endroit jusqu'à la fin de sa vie et ne pourra jamais oublier les moments qu'elle a pu passer là-bas en compagnie des personnes qui lui sont le plus cher au monde. Ses parents et son frère. Cette vieille bicoque a été pendant un long moment le seul endroit où ils se sentaient un tant soit peu en sécurité et à l'abris que monde extérieur.
- La photographie a toujours été un domaine qui a passionner Rockzann et cela depuis son plus jeune âge, c'est pour cela qu'elle fait des études dans ce domaine. Elle rêve de voyager dans le monde entier afin de pouvoir photographier toutes ces merveilles qui sont étrangères à certaines et ainsi faire beaucoup de personnes.
▬ SAY GOODBYE TO THE WORLD YOU THOUGHT YOU LIVE IN.
Avatar : Emilie de Ravin. Age : Dix-neuf ans. Sexe : Féminin. Comment avez-vous connu le forum ? : Sur un autre forum, mais je n'ai plus le nom. Test Rp : - Spoiler:
- Oui, elle est toujours chez nos parents, ses études lui prennent beaucoup de temps cela ajouter à mes horaires de folie, on en se voit plus. Je pense que la dernière fois que tu l'a vu c'était au moment de notre déménagement ici, c'est vrai qu'elle a changé et pas qu'un peu, tu ne savais pas que quand elle était plus jeune elle craquait pour toi ?
Malgré le fait que Curtis et Maureen est à peu près le même âge, ils n'avaient jamais été aussi proche qu'ils ne l'était eux deux. Sa jeune soeur avait rapidement craquer pour le dernier-né des Logan, elle pouvait comprendre pourquoi mais contrairement à sa soeur elle ne le considérait que comme un simple ami, comme le frère qu'elle n'avait jamais eu et avec qui elle pouvait partager tout ce qui arrivait dans sa vie. Maintenant tout avait changé, sa soeur avait un peu calqué son comportement sur le sien, passant d'un garçon à un autre sans aucune vergogne, comme elle le faisait pendant ses années de lycée, mais quand elle avait voulu changer c'était trop tard, tout les hommes connaissait sa réputation.
- Et moi, j'en voulais tellement à mes parents que je ne leur est plus adresser la parole pendant je ne sais combien de temps, elle seul fois ou j'ouvrais la bouche et quand je te parlais au téléphone. Ca m'a anéanti le fait que tu ne sois plus près de moi quand j'allais mal, je ne voulais même pas parler à mes nouveaux camarades, de toute façon aucun ne t'arrivait à la cheville, il y avait toujours quelque chose qui clochait. Tu parles, j'ai sauter de joie pendant des heures quand ta mère m'a appeler pour m'annoncer que tu venais t'installer à Sidney, ça me faisait du bien de savoir que tu serais près de moi et que je pourrais t'épauler dans cette épreuve.
Les moments passer ensemble était les plus beau qu'elle n'avait jamais vécu, même si elle avait toujours eu un train d'avance sur lui, rien ne les avait jamais séparé, à par peut être le déménagement, mais même là ils s'appellaient tout les jours et s'écrivait tout autant. Il était perdu dans ses pensées, voyant sûrement quelques uns de leurs souvenirs défiler dans sa tête. Un sourire vint sur ses lèvres quand elle repensa à une de ses soirées qu'ils avaient passer ensemble, jamais elle ne l'oublierais. Comme toujours il était venu chez elle en douce, montant grâce la palissade en bois qu'avait à tout prix voulu installer sa mère, entrant dans sa chambre en silence. Ce soir là, une université proche donnait une grande fête, elle ne devait avoir que seize ans à peine, mais comme toujours et accompagnée de son ami ils y étaient entrer sans aucune difficulté. Ils s'étaient amusé comme des fous, mais elle avait un peu trop abusé de l'alcool et Curtis avait été obligé de l'aider à rentrer jusqu'à chez elle, essayant de calmer ses fous rire incontrolabe qui lui prenait de temps en temps. Le plus marrant avait du être l'a remonter, elle s'était coincée le talon de sa chaussure entre deux branches de cette fichu plante montante qui entourait la palissade de bois. Heureusement ses parents n'avaient rien entendu et elle sa gueule de bois était rapidement passer. Quand elle entendit le son de la voix de son meilleur ami, elle revint sur terre, écoutant attentivement ce qu'il avait à dire, al beauté qui rendait les hommes incontrôlables ? Elle connaissait, mais elle aussi était éphémère.
- Oui, mais tu crois que dans quarante ans les hommes se retourneront toujours sur mon passage comme il le font aujourd'hui, je ne pense pas.
Tiffany était devenu rouge comme une tomate, elle en était certaine, surtout quand il lui rappela rapidement qu'elle ne tenait pas vraiment l'alcool, sauf quand elle en abusais que modérement. Elle remercia silencieusement Curtis d'avoir mit se sujet sur le tapis, surtout que ça lui permettait de cacher la gêne qu'il avait provoquer en elle.
- Je m'en rappele n'ai pas peur, mais si je me rappele bien je n'était pas la seule à abuser de l'alcool pendant notre adolescence, si je me rappele bien, un jour ce n'est pas moi qui est eu besoin d'être ramener chez moi, heureusement que je connaissais quelqu'un qui avait une voiture car je crois que je n'aurais pas pu t'aider à marcher...Et ce jour-là je n'étais pas ivre, enfin d'après mes quelques souvenirs.
Elle espérait que son sourire allait disparaître de cette façon, mais ça l'énervait tout de même de voir qu'elle n'était pas toujours comme elle le disait, en soirée quand elle était avec des collégues, elle faisait exprès de choisir le rôle de celui qui prenait le volant pour ne pas boire et se donner en spectacle, cela fairait considérablement baisser sa côte de popularité, surtout dans le monde de la mode ou tout le monde était résistant à tout.
- Mais je te l'aurais donner même si tu ne voulais pas, tu crois que c'est prudent de laisser une aussi belle jeune femme rentrer toute seule dans la nuit ? Chaque que je rencontrerais n'aurais pas que de sainte pensée à mon avis...Mais quand au fait que tu va gagner, je ne pense pas, je suis la plus forte.
Une petite fille de dix ans, les gens devaient sûrement l'a prendre pour une folle mais elle n'en avait rien à faire, elle était avec son meilleur ami et ils avaient repris une de leur vieille habitude, celle de se lancer dans des paris complétement stupide. Toutefois sa bonne humeur disparu un peu quand elle entendit Curtis parler de son père, ce n'était pas vraiment rose entre eux en ce moment.
- C'est ce qu'il fait, tu le connaît, il n'aime pas quand je fait quelque chose qui peut le dévalorisé aux yeux du grand monde, alors quand je vais rendre visite à mes parents c'est à peine si j'ai le droit à un regard de sa part. Quand au fait de comment je finirais, il n'y a que le temps qui me le dira...Mais j'espère que je ne finirais pas comme ses femmes seules qui deviennent aigri avec l'âge, moi je me vois bien avec des enfants, même si avec mon caractère ce sera plutôt difficile, mon égo en prendra un coup c'est certain. Mais ce serait super que nos enfants grandissent ensemble, qu'ils deviennent aussi inséparable que nous quand ils auront notre âge. Mais quand au fait de résister ou pas, tu sais bien que je n'y arrive jamais, pour le moment ce que les hommes me donne est un peu de plaisir et je n'arrive pas à me passer de ça, c'est comme une drogue, je suis heureuse pendant un moment et après je redescent sur terre, là c'est le moment le plus dure et où je cours dans tes bras pour avoir du réconfort.
Cette liste, elle ne devait avoir que quatorze ans quand elle avait commencer à écrire ce qu'elle recherchait réellement chez un homme, tout ce que voulais réellement une femme et que tout le monde recherchait.
- Le bon vieux temps, il m'a manquer depuis le jour où j'ai déménager, mais je ne pensais pas que tu avais garder cette liste...Ah c'est journée là resteront graver à jamais dans ma mémoire, les fous rire que l'on pouvait avoir rien que pour un petit détail, quand à revenir aux bonnes vieilles méthodes ça ne serait pas une mauvaise idée, cela nous permettrait en plus de passer encore plus de temps ensemble...Ainsi je pourrait encore plus te rendre l'a vie infernable, j'ai toujours été très bonne dans ce domaine.
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Dernière édition par Rockzann Y. Dwyer le Dim 29 Nov - 18:52, édité 5 fois
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Rockzann Y. Dwyer
Messages : 10
Date d'inscription : 29/11/2009
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Sujet: Re: Rockzann -- fini Dim 29 Nov - 1:24 |
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▬ SO HUMAN AS I AM, I HAD TO GIVE UP MY DEFENCES.
Vous connaissez la vieille maison près de la sortie de la ville et qui est près de tomber en ruine ? Oui, certainement comme tout le monde à Madison. C’est là que j’ai vécu du jour de ma naissance à mes quinze ans a peu près. Ce n’était pas le grand luxe, nous devions presque vivre avec nos manteaux pendant l’hiver, mais je n’échangerais jamais cette partie de ma vie contre une autre. Quand mon père a rencontrer ma mère, cela a tout de suite été le coup de foudre entre eux et ils ont rapidement voulu ce marier pour se prouver leur amour respectif. Mais voilà, dans une aussi petite ville beaucoup on jaser et on surtout dit que jamais ça ne durerait entre eux à cause de leurs différences plus que marquer. Il faut dire qu’ils avaient près de sept ans d’écart et que ma mère n’était même pas encore majeur, c’est seulement après une énième dispute que ma grand-mère à signer l’autorisation. C’est donc seulement en compagnie de leurs meilleurs amis respectifs qu’ils se sont dit oui pour toujours. Quelques semaines plus tard ma mère apprenait qu’elle était enceinte, une situation à laquelle ils ne s’attendaient pas du tout, l’argent leur faisait déjà affreusement défaut. Pourtant, il ne fut pas question d’avortement ou encore de quoi que ce soit d’autre. Mon frère a donc vu le jour deux jours avant Noël et c’est toujours avec un sourire que mes parents disent qu’il a été leur plus beau cadeau cette année-là.
Ce à quoi ils ne s’attendaient pas le moins du monde, c’est que je pointe le bout de mon nez un peu moins de quatre mois plus tard dans le ventre de ma mère. Là, ils ont complètement paniquer et mon père a été obliger de trouver un second job avant ma venue au monde pour que nous manquions de rien. Pour apporter un peu plus de problème, je suis née avec près de deux mois d’avance ce qui a fait que j’ai eu de beaucoup d’assistance, surtout au niveau médical. La note est rapidement montée, mais comme toujours, mes parents n’attendaient qu’une seule chose et c’est que je sois en forme pour pouvoir rentrer chez nous pour vivre avec ma famille. Ce n’est que quelques jours après mon troisième mois de vie que cela a pu se produire. Pendant mon enfance j’ai toujours été sujette à être malade, dès qu’un de mes camarades de classes avait quelque chose, je l’attrapai et passais donc par la case médecin ce dont mon père se serait très bien passer. Heureusement, ma grand-mère paternel était-là pour aider comme elle le pouvait et elle nous gardaient très souvent pendant que nos parents travaillaient. A cette époque je n’aimais pas vraiment aller vers les autres et cela surtout parce que les filles ce moquaient de moi à cause de mes tenues, puis de ma taille. Je n’était pas très grande et mon frère prenait toujours ma défense et cela même s’il devait se faire ensuite punir car il avait dit un gros mot ou taper quelqu’un. A cet âge, il était mon chevalier.
En grandissant, je me suis légèrement laisser aller et ma timidité est passer au second plan. Je n’avait plus peur de dire ce que je pensais ou encore de me jeter dans une bagarre quand en s’en prenait à moi ou encore à ma famille. Là, c’est les garçons qui trouvaient grâce à mes yeux et je passais tout mon temps avec eux pour faire toutes les bêtises inimaginables au grand damne de ma mère qui rêvait d’une petite princesse. Plus je grandissais, plus je prenais conscience que le monde n’était pas rose et que les gens jugeaient non à l’apparence ou encore au caractère, mais plutôt au compte en banque. L’argent était ce qu’il y avait de plus important et je savais que mes parents étaient loin d’être riche. Nous ne manquions de rien, mais nous ne roulions pas sur l’or non plus. L’école ne m’intéressais pas le moins du monde, je préférais encore courir dans les bois ou encore jouer au foot dans le cours de récréation que d’apprendre les multiplications ou autre chose. Ça, c’était avant que je prenne en compte que c’était important si je voulais avoir un bon métier plus tard et vivre décemment. De plus, si je gagnait bien ma vie je pourrais aider mes parents et leur acheter une maison pour qu’ils puissent y vivre tranquillement sans se soucier de leur avenir. Ils le méritaient plus que tout et c’est ce qui ma pousser à travailler sérieusement.
Quand je suis rentrée dans la période de l’âge indigne, j’ai commencer à comprendre que je ne pouvais plus réellement agir comme je le faisais pendant mon enfance et le maquillage est entrer dans ma vie. Changement radical et j’aimais bien ce que je voyais dans le miroir. Quand j’ai eu quatorze ans, mon père a appris que l’un de ses oncles qu’il n’avait pas vu depuis des années, mais de qui il avait été très proche était décédé. Cela a été un coup dur pour lui, mais ce qui l’a surpris le plus, c’est le fait qu’il l’avait désigné comme seul bénéficiaire de son héritage. Mes parents s’attendaient à une petite somme, quelque qui les aideraient pendant quelques temps ou pour nos études, mais une fois le montant dévoilé notre vie à complètement changer. Dom, ce vieil oncle avait très bien gagner sa vie et avait fait beaucoup d’économie au cas où un jour il se marierait ou aurait un enfant, mais cela n’ai jamais arriver. Tout à donc changer en l’espace de quelques mois, nous avons déménager dans une maison à laquelle nous n’aurions jamais rêver auparavant et ils nous restaient encore assez pour vivre tranquillement sans que nos parents aient à travailler. Nous n’avons pourtant pas changer nos habitudes pour autant. Il faut dire que je ne voulais pas devenir comme certaines snobes de mon lycée qui ce prenaient pour le centre de la terre et attendait qu’on les respectent.
Aujourd’hui, je suis étudiante tout en aillant un petit job de serveuse à côté afin de ne pas être totalement dépendant de mes parents et vivre par mes propres moyens. Bien que ma vie est plus simple, il y a quand même quelques petites choses qui font que tout n’est pas parfait et ne le sera très certainement jamais. Et cela à cause d’une seule chose, l’amour. Mon coeur bat pour une personne qui m’est inaccessible d’une certaine manière, même si je sais que lui aussi à des sentiments pour moi. Mais voilà, l’amour que j’ai pour lui n’égalera jamais celui que j’ai pour mon frère et jamais je n’arriverais à blesser ce dernier même si je dois souffrir. Pourtant, je ne peux pas m’empêcher de le voir et de me laisser aller quand sa main touche mon visage ou qu’il me dit “Je t’aime”. Il ne me reste plus qu’à attendre pour voir comment les choses vont évoluer, tout en espérant que tout ira bien. Ne dit-on pas que l’espoir fait vivre ?
Dernière édition par Rockzann Y. Dwyer le Dim 29 Nov - 18:39, édité 3 fois
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Isaac J. Drews
Admin
Messages : 88
Date d'inscription : 25/11/2009
because of you mes amis, mes amours:
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Sujet: Re: Rockzann -- fini Dim 29 Nov - 1:25 |
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Bienvenuuue & Merci de ton inscription ^^
Bonne continuation pour la suite de ta fiche
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Quinn K. Forbes
Messages : 30
Date d'inscription : 28/11/2009
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Sujet: Re: Rockzann -- fini Dim 29 Nov - 1:42 |
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- Emilie
welcome ^^
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Ashlynn Lancaster
Messages : 20
Date d'inscription : 28/11/2009
because of you mes amis, mes amours:
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Sujet: Re: Rockzann -- fini Dim 29 Nov - 1:49 |
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Bienvenuuue
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Roman Blackhawk
Messages : 64
Date d'inscription : 27/11/2009
because of you mes amis, mes amours:
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Sujet: Re: Rockzann -- fini Dim 29 Nov - 14:50 |
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Bienvenue
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Rockzann Y. Dwyer
Messages : 10
Date d'inscription : 29/11/2009
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Sujet: Re: Rockzann -- fini Dim 29 Nov - 18:54 |
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Je vous remercie pour votre accueil... Ce n'est pas du grand art et je m'en excuse, donc s'il y a quoi que ce soit à changer je le ferais sans problèmes.
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Isaac J. Drews
Admin
Messages : 88
Date d'inscription : 25/11/2009
because of you mes amis, mes amours:
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Sujet: Re: Rockzann -- fini Dim 29 Nov - 19:18 |
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Validée ^^ Quel groupe? ^^
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Rockzann Y. Dwyer
Messages : 10
Date d'inscription : 29/11/2009
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Sujet: Re: Rockzann -- fini Dim 29 Nov - 19:24 |
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Contenu sponsorisé
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Sujet: Re: Rockzann -- fini |
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